Quelques années de travail avec les contes m’ont permis d’observer que le cycle de 7 ans est couramment utilisé dans les histoires de nos ancêtres et qu’il signifie toujours un cycle d’accomplissement. Par exemple dans le conte « La jeune fille sans mains », quand les mains de la jeune fille repoussent au terme des 7 années durant lesquelles elle se cache au coeur de la forêt. Observant de même que l’arc en ciel est constitué de 7 couleurs, une portée de musique de 7 notes, une semaine de 7 jours, que les merveilles du monde sont au nombre de 7, etc ., j’ai cherché à en savoir un peu plus sur la symbolique des nombres. Ne trouvant matière à approfondissement sur la toile internet, j’ai entrepris des recherches à la Bibliothèque nationale de France dont je vous partage ici les fruits.
Cet article résume brièvement les racines historiques de la symbolique des nombres de la civilisation occidentale, puis porte sur les cycles et plus particulièrement le septénaire, cycle de 7 ans, et se termine par un résumé succinct d’autres cycles.
L’art thérapie travaille en collaboration étroite avec la symbolique des choses, de toute chose. Ainsi en va-t-il aussi des nombres…
LA SYMBOLIQUE DES NOMBRES DEPUIS L’ANTIQUITÉ
La culture occidentale, comme tant d’autres dans le monde, attribue aux nombres diverses qualités. Les significations rapportées aux nombres s’agencent selon trois axes : la cosmologie, l’éthique et la métaphysique
Ils expriment non seulement des quantités mais aussi des idées et des forces.
L’étude de la symbolique des nombres est très ancienne et trouve ses origines il y a des milliers d’années.
Durant l’antiquité gréco-romaine, l’Occident hérite de la science de la symbolique des nombres par ses « pères fondateurs » élaborée d’abord par Pythagore (VI av. J-C), qui l’étudia en Egypte, puis par Platon (V av. J-C).
Platon considérait la symbolique des nombres comme le plus haut degré de la connaissance et l’essence de l’harmonie cosmique et intérieure ; il écrivait « mesures et proportions numériques garantissent l’ordre aussi bien cosmique qu’humain, qui dépend à son tour de l’harmonie de l’âme, reflet de celles des Idées » [1].
Pour les disciples de l’école de Pythagore l’univers entier était réglé par les nombres en raison de leurs propriétés et leurs qualités spécifiques.
Au Moyen-Age, les pères de l’église ont fait appel à la « mystique des nombres ». Saint Augustin (Ve) institue des spéculations arithmologiques en milieu chrétien occidental. Différents courants de l’église, que ce soit les Chartrains, les Victorins ou les Cisterciens, ont compté des représentants brillants de l’étude des nombres. A travers les siècles, ces enseignements ont aussi été transmis par les alchimistes et les kabbalistes.
A la renaissance, le nombre se situe au cœur de l’agencement du réel et devient l’agent privilégié de l’unité de la connaissance. L’arithmologie au XVIe siècle devient une spécialité à part entière.
Le monde occidental moderne abandonne la signification mystique des nombres. C’est le symptôme du divorce entre science et religion.
Au XIXe siècle, l’arithmologie s’est confinée dans les « sciences occultes ». Elle attire principalement des penseurs mystiques dont le théosophe Rudolf Steiner.
Puis, au XXe siècle, cette science se vulgarise, devient accessible au grand public avec la numérologie.
En psychanalyse, Carl Gustav Jung définissait le nombre comme un archétype d’un ordre devenu conscient. Selon lui, le nombre est préconscient, il existe dans la psyché profonde.
LES CYCLES
Dans le microcosme comme dans le macrocosme, l’Univers se présente à nous sous forme de phénomènes cycliques et rythmiques. La nature n’est jamais immobile ; tout est en perpétuel mouvement.
Les phénomènes naturels repassent périodiquement par des états apparemment identiques. La période d’évolution qui se situe entre deux états identiques constitue un cycle. Une identité absolue entre deux phénomènes n’est pour autant pas possible ; la fin et le début d’un cycle ne sont jamais réellement identiques, mais analogues.
LE SEPTENAIRE – cycle de 7 ans- à travers les âges
La culture romaine héritière de la Grèce Antique, considérait le nombre sept comme un nombre d’une importance primordiale ; en effet, tous les sept ans « la nature est active de manière décisive, causant des changements cruciaux » [2].
Selon Hippocrate (Ve av. J-C), père mythique de la médecine, tout dans la nature est ordonnée par groupe de sept ; le corps humain même serait construit selon la configuration du monde.
Hippocrate décrit ainsi les sept âges de l’existence humaine : « Il y a dans l’existence humaine sept périodes, que nous nommons les âges de la vie. Enfant, garçon, adolescent, jeune homme, adulte, homme mûr, homme âgé. L’enfance s’étend jusqu’au changement de dent à sept ans, la jeunesse jusqu’à la puberté à quatorze ans, l’adolescence jusqu’à la pousse de la barbe à vingt et un ans, l’homme jeune jusqu’à vingt-huit ans, quand le corps a atteint toute sa dimension, l’homme adulte jusqu’à quarante-neuf ans, l’homme mûr jusqu’a 56 ans. Au-delà on parle de l’homme âgé… » [3].
Si pour Hippocrate la science des nombres rationalise déjà la médecine « le nombre sept, par ses vertus cachées, maintient dans l’être toutes choses ; il dispense vie et mouvement ; il influence jusqu’aux êtres célestes »[4].
Puis au IIIe siècle, Censorinus, grammairien et astrologue latin, argumente que « ceux qui mesurent la vie humaine en septénaires semblent s’être rapprochés de la Nature, car c’est après chaque intervalle d’approximativement sept ans que la Nature nous révèle un tournant majeur, et quelque chose de nouveau se produit à ce moment-là »[5].
Chalcidius, philosophe néoplatonicien du IVe siècle, consacre un paragraphe aux propriétés du nombre sept dans les âges de la vie : « ce nombre est regardé comme le meilleur, parce qu’on observe qu’il était la règle de beaucoup de phénomènes produits par les lois naturelles.
D’abord, les naissances à sept mois, sont, dans l’espèce humaine, légitimes avant tout autres. Ensuite, c’est après le septième mois que les dents poussent, après la septième année qu’elles changent. Le même nombre, au bout de la seconde semaine d’années, apporte aux deux sexes la puberté, époque où ils sont aptes à se reproduire ; à la troisième semaine se montre un duvet naissant sur les joues. La quatrième termine l’accroissement de la stature ; la cinquième donne toute sa perfection à l’âge de la jeunesse. L’expérience a fait voir que, dans les maladies, les mouvements se faisaient suivant le même nombre ; et Hippocrate, qui traite de ces faits dans la plupart de ses livres, compte, dans celui qu’il a particulièrement consacré aux semaines, sept ouvertures des sens placées dans la tête, les yeux, les oreilles, les narines et la bouche. Les parties vitales sont en même nombre, la langue, le poumon, le cœur, la rate, le foie, les deux reins.
On compte autant de voyelles qui adoucissent la rudesse des consonnes ; et les phases diverses sous lesquelles se montre la lune croissante et décroissante, sont réglées de la même manière »[6].
Selon Barthélémy l’Anglais, frère franciscain anglais du XIIIᵉ siècle qui fut un des premiers encyclopédistes, la vie est divisée en six âges, qui vont de sept en sept ans. [7]
Le nombre sept est encore décrit par le philologue classique Franz Boll (XIXe), comme un nombre resté sacré dans le monde postchrétien. Ce nombre représente le nombre de la perfection et le fondement de toutes choses :
« Quand un nombre est directement révélé dans le cosmos comme la façon la plus appropriée de définir les périodes de temps, il possède alors, en supplément, un soutènement dans la vie des humains en terme d’embryologie, biologie, et pathologie, pensé pour être observé dans ces sciences physiques »[8].
Si de l’Antiquité au Moyen Age, l’âge qui délimite le commencement de la vieillesse se situe entre 50 et 60 ans, de nos jours, c’est à un âge plus avancé, entre 70 et 77 ans que celle-ci succède à l’âge de la maturité.
Depuis les origines et à toutes les époques, des médecins, philosophes ou religieux ont accordé une importance toute particulière au nombre sept, car pour eux il régit la vie des hommes et de la nature. Le nombre sept symbolise un cycle complet, une perfection dynamique. Il indique le sens d’un changement après un cycle accompli et d’un renouvellement, le passage du connu à l’inconnu. Symbole universel d’une totalité en mouvement mais aussi de l’achèvement du monde et de la plénitude des temps.
LA BIOGRAPHIE HUMAINE DÉCOUPÉE EN 4 PÉRIODES:
Ainsi on peut découper la biographie humaine en quatre grandes périodes, chacune découpée en septénaire :
- De 0 à 21 ans: 1ère période : à partir de la conception, développement physique
Nous nous consacrons principalement à notre développement physique, à la maturation physiologique de nos organes. Nous sommes dépendants des autres et avons peu de pouvoir sur notre propre destin.
- De 21 à 42 ans: 2ème période : développement sur le plan psychique.
C’est une phase d’expansion, d’activité, de sociabilité, où les autres prennent une place importante. Nous nous confrontons aux relations humaines. Nous exerçons, construisons, apprenons à vivre. Ces confrontations nous font murir et à 42 ans, au terme de cette période, nous avons atteint la maturité.
- De 42 ans à 63 ans : 3ème période: développement de la conscience
Il est temps de récolter les fruits. Nos forces biologiques décroissent peu à peu. La dégradation du corps physique amène un développement de la conscience. De nouvelles facultés émergent. Nous dépassons l’intérêt que nous portons à notre propre personne pour nous ouvrir à celui de l’humanité entière et à plus grand que soi.
- À partir de 63 ans: développement du rayonnement intérieur ou du désœuvrement
Les septénaires qui se déroulent à partir de 63 ans ont moins de frontière les uns par rapport aux autres. A partir de 63 ans, nous avons la faculté de vivre notre rayonnement intérieur ou bien au contraire de nous sentir désœuvré et démoralisé. Ce sera principalement lié à ce que nous avons mis en place avant, mais aussi à notre détermination d’affronter ce qu’il y a encore à vivre. Car nous avons encore les moyens de nous enrichir et d’être créatif.
DIVISION D’UN CYCLE DE 7 ANS : LE SEPTÉNAIRE
Chaque cycle de sept ans est divisé en sept cycles d’une année chacun. Le point de départ d’une année est l’anniversaire de la personne et s’étend jusqu’à la date anniversaire suivante. .
1ère année :
Chaque cycle de sept ans s’ouvre par une impulsion induite par ce qui a été fait pendant la dernière année du cycle précédent. Il peut y avoir un sentiment de nouveau départ et de liberté mais aussi celui que les choses ne sont pas encore définies, insaisissables et confuses.
2e année :
L’impulsion nouvelle de ce nouveau cycle occasionne des résistances. Nous cherchons comment faire éclore cette impulsion nouvelle, occasionner un nouveau départ, faire des choix importants, tout en étant encore lié à notre passé, ce qui peut créer des peurs et des conflits internes qui se répercutent sur l’extérieur.
3e année :
L’impulsion nouvelle commence à se clarifier et à prendre forme. Nous nous sentons poussé de l’avant et motivé même si nous ne nous sentons pas toujours à la hauteur de la tâche. Nous pouvons nous donner les moyens d’agir et d’alimenter notre nouvelle impulsion de vie.
4e année :
Nos actions et activités sont en lien avec notre nouveau départ, nous agissons dans ce sens. C’est un travail important qui occasionne de nouveaux conflits internes et externes qui demande parfois de faire des choix, mais qui se révèle aussi être très nourricier. Cela permet de sortir petit à petit de nos schémas anciens qui n’ont plus cours.
5e année :
Année intense d’épanouissement de l’impulsion donnée au cycle. C’est l’éclosion ultime du développement, en conscience, de notre expression, tel que nous l’avons alimenté en début de cycle. Le temps est à la rencontre des personnes qui nous sont nécessaires dans notre évolution. Inversement, il se peut que notre force intérieure n’ait pas réussi à émerger, alors nous perdons espoir.
6e année :
Cette année de culmination du cycle nous demande de clarifier ce qui nous meut sur notre chemin de vie, ce dont nous avons besoin de lâcher prise, et d’entrevoir l’avenir, peu importe le coût que cela nous demande. Les choses peuvent se dérouler telles que nous les désirons, et pourtant un sentiment de frustration peut émerger des profondeurs.
7e année :
C’est la fin d’un cycle et le prochain se prépare déjà, un besoin de renouveau se fait sentir intensément. C’est une année où l’on plante les germes futurs du prochain cycle. Nous avons le choix de nous retourner et de regarder le panorama de ce que nous avons accompli, avec satisfaction, ce qui pourra créer le passage au prochain cycle de façon bénéfique. Laissons de côté les jugements de valeur, de réussite ou d’échec afin de ne pas emporter avec nous dans le prochain septénaire un sentiment de manque et de frustration, pour planter les meilleures bases possibles, en confiance.
LES AUTRES CYCLES
Les propriétés des nombres sont considérées comme des valeurs absolues et symboliques ; ces différents cycles s’apparentent à une manière de regarder et d’interpréter la vie des Hommes en rapport avec d’autres représentations.
Binaire – Cycle de deux ans
Le nombre deux est un symbole d’opposition, de conflit, de réflexion, il indique soit l’équilibre réalisé ou des menaces latentes.
Il est le chiffre de toutes les ambivalences et des dédoublements. Il symbolise le dualisme et exprime un antagonisme, une opposition, qui peut être contraire et incompatible aussi bien que complémentaire et fécond.
Ternaire – cycle de trois ans
Le nombre trois synthétise la tri-unité de l’être vivant. C’est pour les chrétiens, la perfection de l’unité divine. Il désigne aussi les trois niveaux de la vie humaine : matériel, rationnel, spirituel.
Une métaphysique de l’être dans la nature peut se résumer en trois phases de l’existence : apparition, évolution, destruction.
Quaternaire – cycle de quatre ans
Le nombre quatre est associé à la symbolique du carré et de la croix. Il signifie le solide, le tangible, le sensible.
Symbole de plénitude et d’universalité. Il est relié aux quatre points cardinaux, aux quatre saisons, aux quatre phases de la lune, aux éléments, aux qualités naturelles : froid, chaud, sec, humide.
Le nombre quatre est également lié à la symbolique chrétienne des quatre évangiles.
Le schéma des quatre âges traduit parfaitement l’idée selon laquelle l’Homme est un microcosme, c’est-à-dire un cosmos miniature.
Quinaire – cycle de cinq ans
Le nombre cinq est signe d’union, mais aussi du centre, de l’harmonie et de l’équilibre. Symbole de l’Homme et également de l’univers.
Symbole de l’ordre et de la perfection. Signe de la vie manifestée.
Sénaire – cycle de six ans
Le nombre six réunit deux complexes d’activités ternaires. Il est le nombre des dons réciproques et des antagonismes.
Il est une perfection en puissance, virtuelle, mais qui peut avorter, ce qui en fait le nombre de l’épreuve entre le bien et le mal.
Octade – cycle de huit ans
Le nombre huit est universellement le nombre de l’équilibre cosmique.
La tradition chrétienne voit dans le nombre huit un achèvement et une complétude. Le huitième jour est symbole de résurrection, de transfiguration.
Neuvaine – cycle de neuf ans
Le nombre neuf a une valeur rituelle, la perfection de la perfection, l’ordre dans l’ordre, l’unité dans l’unité.
Il apparaît comme le nombre complet de l’analyse total, symbole de la solidarité cosmique et de la rédemption. Il annonce à la fois une fin, celle d’un cycle, et un recommencement, une nouvelle naissance, ouvrant ainsi la phase des transmutations.
Dénaire –cycle de 10 ans
Le nombre dix a le sens de la totalité, de l’achèvement, celui du retour à l’unité, après le développement du cycle des neuf premiers nombres.
Dix est considéré comme le plus parfait des nombres : il contient l’Unité qui a tout fait, et le zéro, symbole de la matière et du Chaos, à l’origine du Tout.
Il comprend donc dans sa figure le créé et l’incréé, le commencement et la fin, la puissance et la force, la vie et le néant. C’est donc une image de la totalité en mouvement.
Duodénaire – cycle de douze ans
Le douze symbolise l’univers dans son déroulement spatio-temporel.
Il fut sans doute une unité de mesure parfaite de l’espace et du temps, aux yeux des hommes de l’Antiquité. C’est le nombre des signes du Zodiaque et du système duodécimal, et de la mesure du temps : 2 fois 12 heures du jour et de la nuit, les 12 mois d’une année.
C’est aussi un nombre important dans la symbolique chrétienne, c’est le nombre de l’élection du peuple de Dieu.
Agnès Perelmuter
Merci à Marc Rochette, chargé de collection en Anthropologie et Ethnologie à la BnF pour son aide précieuse lors de mes recherches.
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Sources
[1] Brach J-P, « La symbolique des nombres. Que-sais-je », p. 18.
2 Emiel Eyben, “Roman Notes on the Course of Life”. Ancient Society 4,1973, p. 228.
3 West M-L, “The cosmology of Hippocrates, De Hebdomadibus”, The Classical Quarterly 21, 1971, p.365.
4 Ibid.
5 Chalcidius (Commentaire sur le Timée de Platon, Ed Meursius, Ludg. Bat. 1617, p. 111-112.
6 Ibid.
7L’Anglais B., « Le livre des propriétés des choses », XIIIe Siècle, Stock, 1999.
8 Boll F., « Die Lebensalter, Ein Beitrag zur antiken Ethologie and zur Geschichte der Zahlen », Kleine Schriften Zur Sternkunde Des Altertums (Leipzig : Koehler & Amelang, 1950, p. 183-184.
Bibliographie
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l’Anglais B., « Le livre des propriétés des choses », XIIIe Siècle, Stock, 1999.
Balliett L. Dow, The philosophy of numbers; their tone and color, 1847. Published 1917, Publisher Atlantic City, NJ.
Boll F., « Die Lebensalter, Ein Beitrag zur antiken Ethologie and zur Geschichte der Zahlen », Kleine Schriften Zur Sternkunde Des Altertums (Leipzig: Koehler & Amelang, 1950.
Brach J-P., « La symbolique des nombres », Que-sais-je, 1994.
Chalcidius :« Commentaire sur le Timée de Platon », Ed Meursius, Ludg. Bat. 1617.
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Chevalier J., Gheerbrant A., « Dictionnaire des symboles », Rober Laffont, 1999.
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West M-L., « The cosmology of Hippocrates, De Hebdomadibus », The Classical Quarterly 21 1971
http://classes.bnf.fr/ema/ages/index.htm
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